
Tout l’esprit que les hommes consacrent
à combattre les maux leur manque pour inventer la joie. Nietzche
Oh Nietzchou, Nietzchounet,
Puis-je embrasser tes deux joues et ton grand front plein de mots ? Ton regard en perdrait-il un instant son farouche éclat ? Cette moustache toujours arborée témoigne-t-elle de l’énergie que tu dépensas à combattre tes propres maux, ou de l’exubérance non maîtrisée d’une joie secrète qui pousse, qui pousse… ?