Irène, carotte près de Rouen : "Soudain, je me suis sentie soulevée de terre, on m'a tirée par les cheveux, poussée dans une cagette, exposée aux regards sur un étal pendant plusieurs heures, coincée au fond d'un panier, coupé les fanes sans ménagement, déshabillée, et j'attends maintenant sur une planche à découper. À côté de moi j'ai reconnu une amie d'enfance. Je préfèrerais pour ma part des petits dés.
... ou à l'étouffée.
RépondreSupprimerCruel !
RépondreSupprimerQu'ont dû penser les carottes serrées entre d'autres légumes et des petits bouts de poulet dans la terrine de Philippe ? Il en reste dans le frigo. Je leur parlerai demain. Je ferai l'éloge de leur couleur en guise consolation.
RépondreSupprimerHi hi hi
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