vendredi 15 juillet 2011

il n'y a pas d'énigme

J'ai longtemps cru qu'il y avait quelque chose d'important à faire, un truc essentiel, je ne savais pas quoi, une pièce maîtresse à trouver, qui apaiserait une anxiété sans motif. J'aperçois maintenant, par moment, clairement, qu'il n'y a rien de spécial à faire. C'est un vrai soulagement. Curieusement, les trois quart de l'angoisse disparaissent alors, et le quart qui reste, je l'aime.

6 commentaires:

  1. Découverte de Kitty, chez le blog de CH. Pinna, j' aime Angoulême, là même ou j' allais voir Jean Claude Pirotte, rue des Embergues !
    Je vais revenir, c' est sûr !
    Versus

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  2. ...rue des Remberges, chez Jean-Claude, nous aurions pu nous y croiser... oui, Angoulême est une belle ville...

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  3. Oui, rue des Remberges,( excusez, c' est l' émotion ), ces petites maisons à un seul étage...le frigo avec la bouteille de vin blanc...
    Les messages laissés, alors que la porte était inexorablement fermée !...
    Bonne soirée.

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  4. ah, la bouteille de vin blanc... du bourgogne bien sûr !

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  5. ... faire rissoler le quart de l'angoisse restante.

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