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Je me disais comme ça, me parlant à moi-même ce matin, qu'il faudrait peut-être instituer une fête de l'être, tout simplement. Pas du genre de la fête des mères, des grands-mères, des secrétaires, du Père Noël, du beaujolais et autres fiestas qui tirent leur tête de gondole dans les supermarchés ; il faudrait ce jour-là sans doute point de télévision, magasins fermés, et beaucoup de silence. Je sais, cela ne paraît pas très festif... Et pourtant, quelle fête nous avons tout au fond de nous, dans l'extrême nudité, recouverte par tant d'agitation fébrile !
Justement, on y a songé...
RépondreSupprimeret même, nous sommes passés à "l'acte" il n'y a pas si longtemps que ça à "ne rien faire à part d'être là":)
Bises
Regina
Formidable. Il faudra récidiver alors ! bises.
SupprimerBelle idée mais il y a malheureusement beaucoup de gens sans televiseur et parfois sans l'essentiel, un toit, qui ne vivent pas cette précarité comme une fête de l'être. C'est une fête quand cette journée que vous proposez est précédée et suivie de journées "confortables"!
RépondreSupprimerFelicitas
Je ne voyais pas cela comme la cerise sur le gâteau, mais un éclairage sur ce qui nous est donné à tous, qu'on soit pauvre ou riche. Bien sûr que les conditions de vie ne sont pas les mêmes, je suis bien d'accord. Mais est-on, par exemple, empêché de prier parce qu'on est pauvre ?
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