" Chez Trungpa, pas de révélation, pas de dieu, pas de sauveur, pas d'identité, pas de soi. Alors, aucun espoir ? Pas le moindre. La voie ? "Tout ce qui ne sait rien de l'espoir et de la peur." Autrement dit, compassion inouïe pour le vivant (l'insondable du vif contre les routines du mortifère), pur devenir rythmé au risque de chaque instant (illusion et grâce, la création commence à chaque seconde), lâcher-prise (au soleil blanc de la vacuité, le masque fond de lui-même). Folle sagesse. " [Zénio Bianu, postface à Folle sagesse, de Chögyam Trunpa]
lundi 2 mai 2011
alors, aucun espoir ?
" Chez Trungpa, pas de révélation, pas de dieu, pas de sauveur, pas d'identité, pas de soi. Alors, aucun espoir ? Pas le moindre. La voie ? "Tout ce qui ne sait rien de l'espoir et de la peur." Autrement dit, compassion inouïe pour le vivant (l'insondable du vif contre les routines du mortifère), pur devenir rythmé au risque de chaque instant (illusion et grâce, la création commence à chaque seconde), lâcher-prise (au soleil blanc de la vacuité, le masque fond de lui-même). Folle sagesse. " [Zénio Bianu, postface à Folle sagesse, de Chögyam Trunpa]
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"Tout ce qui ne sait rien de l'espoir et de la peur", c'est beau. Cela me paraît juste.
RépondreSupprimerOui. Ce billet m'intéresse, Kitty. Merci.
Oui c'est beau, et quelle renversante invitation...!
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