Aujourd'hui jour de deuil chez les muguets...
Ne pourrions-nous pas plutôt trouver quelque rituel au pied des jolies clochettes, plutôt que de les couper, et les laisser agoniser dans notre étroite et insensible propriété ? [j'ai piqué la photo là pour la repiquer ici]
Je sens peu de soutien à ma croisade, mais si les clochettes faisaient deux mètres de haut et avaient de grandes dents, vous feriez moins les malins.
RépondreSupprimerCouper, piquer, repiquer... nous ne sortons pas de ces considérations transplantatoires.
RépondreSupprimerEh oui, l'espace est restreint. On dit : jardin secret, jamais parc secret.
RépondreSupprimer"Une croisade", dis-tu ? Tu vois, Kitty, que mes craintes par rapport à ton évolution sont compréhensibles...
RépondreSupprimerJe suis de ton avis, pas seulement pour le muguet, mais pour les fleurs en général. Une fleur coupée me fait penser à une belle jeune fille morte que l'on vient admirer, entre les cierges, avant de l'enfermer en son cercueil. Je pense cela depuis plus de quarante ans. Et pourtant, quand on m'offre des fleurs, je les place dans un vase, comme tout le monde.
Ainsi, ta phrase "jour de deuil chez les muguets", ça me parle...
Le mot "croisade" était mal choisi, ah le coquin, il devait se balader dans l'air, et je l'ai laissé se glisser sous ma "plume". C'est qu'il faut être vigilant avec les mots... J'y mettais là une pointe d'humour, en raison du décalage qu'il peut y avoir entre une armée de chevaliers et des brins de muguet.
RépondreSupprimerN'aies aucune crainte pour moi Lika, tu te souviens du billet "sans espoir ni peur" ?
Pour ce que tu dis ensuite : des baisers...
Moi aussi, je t'en fais des baisers en guise de muguet.
RépondreSupprimerUlla ma prof de piano, était triste car personne ne lui a offert de muguet le 1er mai. Alors, j'ai copié ton dessin sur une petite carte pour elle.