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mardi 20 décembre 2011
cueilli, recueilli
invitée à une promenade, je cueillis cette fleur en chemin dans la forêt d'Illioutoubhe, la voici maintenant sur la table du salon, et moi dans le fauteuil (hors champ), la regardant
Je comprends que ces fleurs soient tombées amoureuses de ce chanteur, et qu'elle aient étirées leurs tiges au maximum pour l'approcher. Sauf qu'il est devenu moqueur, et que les fleurs n'aiment pas les amoureux moqueurs. Tant de courbaturer en perspective pour rien.
Mais non, c'était vers toi qu'elles étiraient leurs tiges ! Tu as voulu te cacher, et il t'arrive ce qui est arrivé à La petite Sirène : le Prince a cru que c'était la jeune Princesse accourue sur le rivage et non elle, qui l'avait sauvé de la noyade ! Voilà où conduit la modestie.
Je comprends que ces fleurs soient tombées amoureuses de ce chanteur, et qu'elle aient étirées leurs tiges au maximum pour l'approcher. Sauf qu'il est devenu moqueur, et que les fleurs n'aiment pas les amoureux moqueurs. Tant de courbaturer en perspective pour rien.
RépondreSupprimerMais non, c'était vers toi qu'elles étiraient leurs tiges ! Tu as voulu te cacher, et il t'arrive ce qui est arrivé à La petite Sirène : le Prince a cru que c'était la jeune Princesse accourue sur le rivage et non elle, qui l'avait sauvé de la noyade ! Voilà où conduit la modestie.
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