Trois ! Mais bien sûr ! Je n'en voyais qu'un, le plus gros, où avais-je mis mes yeux ce jour là ? Une farce poissonnesque en quelque sorte, dont je fus le dindon en ce 1er avril.
Bon, Elbe, je m'en remets à votre expertise, bien qu'elle ne soit pas très gentille pour la dame... mais les dames ne sont pas toujours gentilles il est vrai.
Une amoureuse est généreuse. Qui songerait à lui en vouloir quand elle multiplie les poissons où d'autres ont multiplié les pains ? Ceux-là se sont rencontrés pour nous offrir notre sandwiche quotidien d'amour. On la nomme Marie-Madeleine. Petite vertu, grand destin.
Moins romantique, je me dis qu'elle profite du 1er avril pour montrer que la cuisine ne lui fait pas peur, et qu'elle peut vider des poissons en souriant...
C'est elle qui parle, en amante experte, et les trois poissons qu'elle exhibe ne sont que le symbole de tous ceux qu'elle a attrapés.
RépondreSupprimerElbe (du signe des Poissons moi-même)
Trois ! Mais bien sûr ! Je n'en voyais qu'un, le plus gros, où avais-je mis mes yeux ce jour là ?
RépondreSupprimerUne farce poissonnesque en quelque sorte, dont je fus le dindon en ce 1er avril.
Bon, Elbe, je m'en remets à votre expertise, bien qu'elle ne soit pas très gentille pour la dame... mais les dames ne sont pas toujours gentilles il est vrai.
Une amoureuse est généreuse. Qui songerait à lui en vouloir quand elle multiplie les poissons où d'autres ont multiplié les pains ? Ceux-là se sont rencontrés pour nous offrir notre sandwiche quotidien d'amour. On la nomme Marie-Madeleine. Petite vertu, grand destin.
RépondreSupprimerLa table des multiplications est toujours mieux garnie que celle des divisions.
RépondreSupprimerMoins romantique, je me dis qu'elle profite du 1er avril pour montrer que la cuisine ne lui fait pas peur, et qu'elle peut vider des poissons en souriant...
RépondreSupprimerhi hi hi
RépondreSupprimer...et sans tablier encore, sûre de ne pas faire de taches. (J'aime bien te faire rire.)
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