De passage à Paris, un tahitien qui se rendait à Vienne acheta, hier, l'unique exemplaire
des Coeurs fragiles de la fenac Saint-Lazare. Cet homme remarquable habite une contrée assez miraculeuse, qui répond au merveilleux nom de
Coucouville les Nuées.
Coucouville les Nuées... ! Ca me dit quelque chose ! J'ai cherché sur ses liens, je ne les ai pas trouvés ! Il faut donc que je fasse le tour des blogs amis.
RépondreSupprimerTrès très belles, ses photos de nuées
Il a acheté ton livre : il a du goût, ce garçon-à.
Merci Lika.
RépondreSupprimerpour le blog de mon ami tahitien, il te suffit de cliquer sur le nom dans mon billet, tu as direct un billet vers les Nuées...
Tu parles de ton ami tahitien comme le petit prince parlait de son ami le renard. Pourtant, Dieu sait que le petit prince n'est pas ma tasse de thé - à part certains passages émouvants. Mais l'idée m'est venue comme ça, tu sais comment c'est.
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