Tu réveilles bien des souvenirs. J'avais lu les trois tomes - pensais-je avec profit - quand je suis allée voir Sarah pour la dernière fois. Mais je n'ai pas trouvé les mots (ou les silences) qui sauvent. Alors, "reconsidérer le monde comme un jardin"... Mais peut-être plaisantes-tu ? A moins que tu ne fus inspirée par "Le jardinier d'amour" de R. Tagor - que cite Drewermann ?? Je suis perplexe et davantage.
Un jardin, ce sont aussi des orties, des épines, des fruits empoisonnés pour l'homme... Chez Drewermann et dans le contexte du livre, il s'agit du paradis originel, quand l'homme était en fusion avec Dieu, que l'amour était une source pure au-delà des lois morales et celles construites par la société. Je ne voulais pas être "fleur bleue", mais porter un instant les regards vers la nature.
Et je lis maintenant "Et si de l'amour on ne savait rien", de Fabrice Midal, qui vient de paraître. Lui aussi remonte aux sources de l'amour, par le chemin notamment de son expérience de la méditation. C'est très beau, et juste, et vaste. j'aime les lectures qui dilatent, non pas seulement la rate, mais l'être tout entier.
Tu réveilles bien des souvenirs. J'avais lu les trois tomes - pensais-je avec profit - quand je suis allée voir Sarah pour la dernière fois. Mais je n'ai pas trouvé les mots (ou les silences) qui sauvent. Alors, "reconsidérer le monde comme un jardin"... Mais peut-être plaisantes-tu ?
RépondreSupprimerA moins que tu ne fus inspirée par "Le jardinier d'amour" de R. Tagor - que cite Drewermann ??
Je suis perplexe et davantage.
Un jardin, ce sont aussi des orties, des épines, des fruits empoisonnés pour l'homme...
RépondreSupprimerChez Drewermann et dans le contexte du livre, il s'agit du paradis originel, quand l'homme était en fusion avec Dieu, que l'amour était une source pure au-delà des lois morales et celles construites par la société.
Je ne voulais pas être "fleur bleue", mais porter un instant les regards vers la nature.
Et je lis maintenant "Et si de l'amour on ne savait rien", de Fabrice Midal, qui vient de paraître. Lui aussi remonte aux sources de l'amour, par le chemin notamment de son expérience de la méditation. C'est très beau, et juste, et vaste. j'aime les lectures qui dilatent, non pas seulement la rate, mais l'être tout entier.
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