mardi 13 juillet 2010

été, saison des festivals

Se déroulait hier, entre Angoulême et Poitiers, la dernière étape du Festival International des Nuages, le Final de l'Itinérance Nébuleuse, bref, le fin du fin.



Ils s'étaient rassemblés
nombreux, du petit gris
au gros blanc, du compact
à l'effiloché, du voltigeur
de haute altitude à celui qui
rêve de frôler vos cheveux,
et l'herbe du pré.
Elle se fit drue pour les aider.

5 commentaires:

  1. J'ai fait tout mon possible, mais impossible de me dégager à temps pour en être!
    Merci de m'avoir représenté, Catherine!

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  2. Il me vient une toute petite idée : peut-être les nuages (qu’ils courent ou non au Festival international vienno-charentais organisé par Kitty) adoucissent-ils le paysage ? L’Étranger de Charles Baudel. les aime (eh ! qu’aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?), mais pourquoi ? — ne sont-ils pas la conscience du paysage ? — et, comme toute conscience, elle est mouvante et voyageuse, infiniment poétique.

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  3. Mes amis, après toutes ces émotions, installons-nous sous la véranda pour discuter.
    Un thé avec un nuage de lait ?

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  4. Excellente idée, épicé et sucré, le nuage.

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  5. Bonjour,
    Connaissez-vous le musée des nuages ?
    https://museedesnuages.fr et https://climatsartistiques.art

    Je serai très heureux d'échanger avec vous à ce sujet.

    Chaleureusement,
    Sylvain Soussan

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