La Société des gens de lettres a décerné, parmi ses prix de l'automne, le Prix Thyde Monnier aux Coeurs fragiles. Thyde Monnier, de son vrai prénom Mathilde, est cette femme qui couche ici ses écrits dans son grand cahier. Elle fut écrivain, auteure entre autres de Nans le berger, féministe, et mourut en 1967. Mathilde, êtes-vous d'accord avec le jury ? Si vous voulez bien, je fais un petit saut pendant votre grand sommeil pour vous lire une des nouvelles du recueil intitulée : "Une nuit agitée"...dimanche 7 novembre 2010
autres feuilles d'automne
La Société des gens de lettres a décerné, parmi ses prix de l'automne, le Prix Thyde Monnier aux Coeurs fragiles. Thyde Monnier, de son vrai prénom Mathilde, est cette femme qui couche ici ses écrits dans son grand cahier. Elle fut écrivain, auteure entre autres de Nans le berger, féministe, et mourut en 1967. Mathilde, êtes-vous d'accord avec le jury ? Si vous voulez bien, je fais un petit saut pendant votre grand sommeil pour vous lire une des nouvelles du recueil intitulée : "Une nuit agitée"...
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J'aime bien ton livre, et je suis contente que tu aies eu un Prix.
RépondreSupprimerLe soir, je lis "Les coeurs fragiles" - tu fais donc un saut sur le lit comme mes chats. La nuit, Putzi est le long de mes côtes à gauche, et Nora le long de mes jambes à droite. Ce qui fait rire Philippe, dont elles s'écartent un peu.
Je lis aussi le dernier livre, traduit en français de mon amie japonaise Shizue Ogawa : "Une âme qui joue". Je me suis dit, Kitty aimerait ce titre - et ces poèmes. Mais, je n'en suis pas sûre, bien entendu... Je lis aussi : "De l'abjection", de Marcel Jouhandeau, acheté en 2005. Mais je ne vois pas où est l'abjection. Pas encore ?
Jolie titre en effet. Je vais tâcher de découvrir ses poèmes.
RépondreSupprimerLarry et moi avons voulu voir hier le film coréen Poetry, mais la petite salle était comble. Notre élan poétique s'est vu ainsi détourné vers un plat de tripes (authentique !). La vie est bien étrange : poétripe parfois.
La poésie est ce lieu d'expression du regard et de la voix, qu'une main distraite se plait à échanger.
RépondreSupprimerJean Pierre (au sortir du film Poetry)
J'ai lu toutes les nouvelles de "Cœurs fragiles". Mais où donc est passé ce livre ? Celle que j'aurais aimé que Mathilde lise est celle où il est question d'un coquillage dans une poche. Et puis d'un autre. Oui, c'est ma préférée. Le livre est peut-être sous mon oreiller, ou sous celui de Philippe. Je vais aller voir.
RépondreSupprimerLika,
RépondreSupprimerce livre sous l'oreiller, la petite souris l'aura-t-elle pris ?