... Odile, petite aiguille de montre au poignet de Jacques S., à Paris : "C'est fou les pressions que je subis, tantôt pour aller plus vite, tantôt pour aller moins vite. D'accord je suis née dans une Rolex, et alors ? Je bosse 24h par jour, j'abats mes 1440 minutes et mes 86 400 secondes... Vous saisissez ? Je vous assure que j'ai pas le temps de lever le nez pour regarder les dorures au plafond."
Sais-tu que je n'ai jamais compris la beauté qu'on pouvait trouver dans une Rolex... Par contre, si j'avais été riche, j'aurais adoré avoir une Ferrari... Il y a tant de soins, d'amour, dans sa fabrication, que m'asseoir dans cette voiture, me remplirait de respect. Mais je dois être hors sujet...
RépondreSupprimerMoi, Chris, grain de sable du sablier, je dis qu'Odile elle se la pète à nous répéter que dans sa Rolex le temps c'est de l'argent. Nous autres, on se la coule douce. Mesurer le temps, ça nous fait pas tourner la tête !
RépondreSupprimerLika : je suis plutôt Jaguar... Ce qu'on va avoir fière allure toutes les deux sur le Riviera cet été...
RépondreSupprimerChris : vous avez de la chance d'être né du beau côté du monde, et de ne pas connaître les cadences infernales. Aidez-moi ! comment faire la révolution ?
RépondreSupprimerChère Odile, la révolution est en vous. N'entendez-vous point le tic tac qui vous rapproche de cette ultime fin : l'heure pétante ?
RépondreSupprimerQuand l'heure pète un bon coup, les minutes rigolent (proverbe toulousain)
RépondreSupprimerOdile, un peu de tenue je vous prie. Vous allez être mutée dans une Swatch en plastique si ça continue.
RépondreSupprimerJe me range aux côtés de Catherine pour m'étonner qu'Odile se lâche ainsi. L'expression ne qualifie-t-elle pas les bourgeoises ainsi : "Elles pètent dans la Swatch, mais ça pue quand même" ?
RépondreSupprimerCessons-là, je vous prie.
Allez Odile, plus que quelques heures à tirer et bientôt les grandes vacances. Courage.
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