jeudi 17 mars 2011

la parole à...


... Odile, petite aiguille de montre au poignet de Jacques S., à Paris : "C'est fou les pressions que je subis, tantôt pour aller plus vite, tantôt pour aller moins vite. D'accord je suis née dans une Rolex, et alors ? Je bosse 24h par jour, j'abats mes 1440 minutes et mes 86 400 secondes... Vous saisissez ? Je vous assure que j'ai pas le temps de lever le nez pour regarder les dorures au plafond."

9 commentaires:

  1. Sais-tu que je n'ai jamais compris la beauté qu'on pouvait trouver dans une Rolex... Par contre, si j'avais été riche, j'aurais adoré avoir une Ferrari... Il y a tant de soins, d'amour, dans sa fabrication, que m'asseoir dans cette voiture, me remplirait de respect. Mais je dois être hors sujet...

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  2. Moi, Chris, grain de sable du sablier, je dis qu'Odile elle se la pète à nous répéter que dans sa Rolex le temps c'est de l'argent. Nous autres, on se la coule douce. Mesurer le temps, ça nous fait pas tourner la tête !

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  3. Lika : je suis plutôt Jaguar... Ce qu'on va avoir fière allure toutes les deux sur le Riviera cet été...

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  4. Chris : vous avez de la chance d'être né du beau côté du monde, et de ne pas connaître les cadences infernales. Aidez-moi ! comment faire la révolution ?

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  5. Chère Odile, la révolution est en vous. N'entendez-vous point le tic tac qui vous rapproche de cette ultime fin : l'heure pétante ?

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  6. Quand l'heure pète un bon coup, les minutes rigolent (proverbe toulousain)

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  7. Odile, un peu de tenue je vous prie. Vous allez être mutée dans une Swatch en plastique si ça continue.

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  8. Je me range aux côtés de Catherine pour m'étonner qu'Odile se lâche ainsi. L'expression ne qualifie-t-elle pas les bourgeoises ainsi : "Elles pètent dans la Swatch, mais ça pue quand même" ?
    Cessons-là, je vous prie.

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  9. Allez Odile, plus que quelques heures à tirer et bientôt les grandes vacances. Courage.

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