vendredi 29 janvier 2010

après une grande oeuvre, cure de koumis

Chaque fois qu'il vient d'achever une grande oeuvre, Tolstoï s'effondre psychiquement ; l'estomac refuse soudain de fonctionner, les sens se troublent et chancellent. Il faut qu'il s'en aille dans la solitude absolue, très loin de toute civilisation, dans la steppe, vers les Baschiks, pour reconquérir son équilibre moral en vivant dans une hutte et en faisant une cure de koumis. (Stefan Zweig). Mais qu'est donc ce mystérieux koumis ? Eh bien, chers petits curieux, c'est un vin résultant de la fermentation... du lait de jument. On l'appelle aussi lait de champagne. En France, on en parlait comme d'une "tisane rafraîchissante" à prescrire pour les maladies de poitrine, les inflammations et les névroses. Vivement que j'aie écrit une grande oeuvre ! Et si j'en fait une petite, je peux juste avoir un verre ?

1 commentaire:

  1. Tu est trop mignonne, Kitty !
    Moi je te donnerais tous les verres que tu veux, et ma part en premier, car, hum..., il faut aimer le lait... L

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