"Si le titre de l’exposition est emprunté à une collection posthume des oeuvres de Simone Weil, c’est bien parce que les oeuvres des artistes rassemblés procèdent toutes, chacune selon ses modalités propres, de la conscience que la grâce ne s'atteint pas par une volonté héroïque mais par la soumission humble aux nécessités de la pesanteur. Ce que Simone Weil appelait l'effet de levier : Monter en abaissant. Il ne nous est peut-être donné de monter qu’ainsi". Photo : Simone Weil en 1936, en Espagne. Curieusement, de loin, les camarades de Simone ont l'air en lévitation.mardi 3 août 2010
la pesanteur et la grâce au Collège des Bernardins
"Si le titre de l’exposition est emprunté à une collection posthume des oeuvres de Simone Weil, c’est bien parce que les oeuvres des artistes rassemblés procèdent toutes, chacune selon ses modalités propres, de la conscience que la grâce ne s'atteint pas par une volonté héroïque mais par la soumission humble aux nécessités de la pesanteur. Ce que Simone Weil appelait l'effet de levier : Monter en abaissant. Il ne nous est peut-être donné de monter qu’ainsi". Photo : Simone Weil en 1936, en Espagne. Curieusement, de loin, les camarades de Simone ont l'air en lévitation.
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Et Simone, même posée, qui flotte, en suspension.
RépondreSupprimer(ci-dessous le lien d'un dessin inspiré de cette photographie):
http://gilbertpinnalebloggraphique.over-blog.com/article-la-brigadiste-37502524.html
Merci à Simone de m'avoir permis de découvrir votre blog et vos dessins.
RépondreSupprimerAmis nomades des espaces numériques, allez-y voir aussi !