samedi 28 novembre 2009

présence d'un cheval et/ou d'une chaussette

Ce n'est pas là la couverture miraculeuse du livre dont je parlais dans le billet précédent. J'ai choisi une photo à l'intérieur de l'ouvrage retrouvé dans ma bibliothèque, ouvrage qui s'intitule Animaux en chaussettes (épuisé dans le commerce). En effet, il faut s'habituer progressivement à ne plus avoir tout le poids du monde sur les épaules, c'est comme pour la plongée : remontée par paliers. Il est vital de continuer de rêver, qu'il existe par exemple une image qui, à elle seule, opère un miracle. Ce miracle marche pour moi, il doit rester un peu secret. C'est pourquoi j'opte pour cette solution : j'enverrai une copie couleur de cette couverture par courrier postal sous plis discret à toute personne qui m'en fera la demande par courriel. En attendant, n'oubliez pas de répondre au sondage en cours jusqu'au 2 décembre, c'est un exercice à faire, j'indiquerai ultérieurement de quoi.

5 commentaires:

  1. Elle n'a pas l'air usée cette chaussette. Orpheline, peut-être?

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  2. Pas du tout, il s'agissait bien au départ d'une vieille chaussette, au bout de sa vie de chaussette. Mais il y a eu métamorphose, et ça, ça donne vraiment la pêche !

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  3. Je suis pour la chaussette en liberté, foin de reprise en tête d'âne ou d'haridelle ! La chaussette a le droit de terminer sa vie en vieille chaussette usée, trouée, après une longue vie de bons et loyaux services à supporter en silence des pieds souvent de cochon ou même de veau... car il n'y a pas que le pied de biche ou de poule ou d'alouette.

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  4. Bien sûr ! Nulle obligation d'une deuxième vie ! Les vieilles chaussettes doivent être respectées. Je vous sens proche de créer une association de défense des vieilles chaussettes. Allez, sautez donc le pas !

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  5. Anaxagore de Clazomènes m'a contactée pour me préciser le point important suivant. J'aurais attribué à Héraclite ce qui n'était pas à César (mais je suis un peu perdue !" : "Auteur de la loi de la conservation de la matière qui porte son nom, Antoine Laurent Lavoisier n’a pas vraiment inventé la fameuse sentence qui la résume et que des générations d’écoliers ont apprise par cœur. Le père de la chimie moderne a simplement reformulé de manière plus frappante et concise une idée déjà énoncée au Ve siècle avant J.-C. par un philosophe atomiste ionien très en avance sur son temps, Anaxagore de Clazomènes : « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau »"

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