mardi 24 août 2010

mon cousin Claude

Cousin Claude est très en forme, il va construire une maison. Je vais vite lui trouver un marteau, et une cloche pour sonner les repas, j'y mettrai tout mon coeur. Il chante qu'il veut une chanson aussi... Ne serait-ce pas là une sorte de koan ?

5 commentaires:

  1. Le cousin Claude, quel ardent pionnier bâtisseur...

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  2. Oui, quelle pêche, n'est-ce pas ? Il a juste oublié de demander aussi une salopette parce que s'il donne dans la maçonnerie avec son costume cravate, tata va pas être contente du tout.

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  3. « pour le travail à l’aube » il joue de la pelle, mais on voit bien qu’il n’est tout de même pas un familier du manche… dans « et le soir pour la soupe » ça se passe un tout petit peu mieux, elle est juste à la bonne température, pas besoin de souffler dessus, ni de faire des grands « slup » comme Jacques Brel. Larry.

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  4. C'est köa un koan ?
    Cette chanson m'a fait rigoler. Mais à l'époque où Claude la chantait, mon cerveau d'anar balayait dédaigneusement la chanson de variété, même - et surtout - s'il s'agissait de Léo Ferré,considéré par nous comme un anarchiste de salon.
    Ce qui me fait penser à Luther : "L'esprit humain est comme un homme ivre à cheval. Relevez-le d'un côté, il retombe de l'autre".

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  5. Un kôan, c'est une sorte d'énigme utilisée par certaines écoles du zen pour provoquer l'éveil, une sorte de paradoxe. Le zen cherche à nous placer au-delà des dualités avec lesquelles nous sommes habitués à fonctionner.
    A propose de l'esprit humain, les orientaux le comparent à un singe qui s'agite dans tous les sens. Oh, petit singe, que tu es fatigant !

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