lundi 16 août 2010


Comme l'épouvantail, il lève les bras. Mais ensuite, il les lève encore plus haut : il est plus fort que l'épouvantail. Il montre les étoiles et aussi il danse. Il dit qu'il danse et qu'il montre les étoiles.

2 commentaires:

  1. Étrange coïncidence : Au moment même où je suis venue me reposer ici, je venais d'essayer d'exprimer que l'âme d'Emily Dickinson, jugée par son père dangereuse pour la position respectable qu'il s'était créé à Amherst - et donc assignée par lui à l'immobilisation (l'épouvantail, n'est-ce pas...)- cette âme découvrait un parachute miraculeux, la poésie, qui allait la projeter dans les étoiles, et donner le vertige à tous les lecteurs...

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  2. Il faudra bien que je la lise un jour cette Emily !

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