C'est une photo de Simen Johan dans The New-Yorker de cette semaine.
Je pourrais m'arrêter là, tant ça doit vous laisser pensif-ve rien que ça :
le mouton, le New Yorker...
Je ne connais pas cette photographe, et elle va peut-être m'attaquer pour avoir mis son mouton sur mon blog.
Tant pis : je prends le risque d'aller en prison pour partager avec vous cette émotion de mouton si bellement assis dans l'herbe.
Très belles ces photos de Simen Johan ! Une belle découverte ! Merci Catherine. Je la garde dans mes petits papiers. Mais alors, moi qui viens juste de m'aventurer sur ce blog, je me pose une petite question qui paraîtra éventuellement saugrenue, mais quel rapport avec le mot suivant qui s'inscrit en bleu : prison ? Non pas que le site auquel on accède soit sans intérêt, bien au contraire, mais est-ce toi oh! experte en brouillards zet tourbillons qui choisis de mettre en évidence un terme précis, par une manipulation magique, pour orienter, sans en avoir l'air nos curiosités et débats éventuels ? Et nous, est-ce qu'on peut en faire autant ?! Comment ?
RépondreSupprimerC'est terrible ce site sur la prison. Quand on cherche un peu, on trouve une liste de gens, en Amérique et ailleurs, qui notamment, sont condamnés à mort et qui cherchent des correspondants... Crâce au web, notre vie peut basculer vers l'engagement en quelques secondes. Très très troublant. Que faire ? C'est troublant et grâve.
RépondreSupprimerOui, c'est moi avec ma baguette magique qui choisis les termes pour lesquels je veux renvoyer vers un site. J'ai en effet choisi volontairement ce site très dur et dérangeant sur la vie en prison, par contraste avec la douceur que réprésente ce mouton. En fait c'est l'étrangeté vertigineuse d'internet que j'aime à explorer : à chaque "coin de rue" surgit n'importe quoi, une sorte de pâte à laquelle on peut donner sens, écho, résonnance...
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