samedi 6 mars 2010

un titre ne suffit pas à donner la raison

Alors que la psychiatrie se préoccupe de découvrir pourquoi certains individus deviennent fous, la question vraie serait de découvrir pourquoi la plupart d'entre eux ne le deviennent pas. Étant donné la position de l'homme dans le monde, son aliénation, sa solitude, son impuissance et la conscience qu'il en a, on pourrait s'attendre à ce que le poids de ce fardeau soit trop lourd pour lui et que, sous une telle pression, il éclate littéralement "en pièces et morceaux". (Eric Fromm. Bouddhisme Zen et psychanalyse, PUF 1971).

8 commentaires:

  1. Changez de lecture, Catherine, lisez Alphonse Allais, ça ira mieux (sourire) : "Ne nous prenons pas au sérieux, il n'y aura aucun survivant."

    Pascale

    RépondreSupprimer
  2. Je pense exactement cela, et depuis bien longtemps...
    Et le Miro que tu as choisi, si joyeux malgré tout, quelle bonne idée !

    L'anonyme, là au-dessus, l'air de rien, se prend un petit peu au sérieux avec ses conseils, non ?

    RépondreSupprimer
  3. L'anonyme au-dessus, chère Lika, a signé et se nomme Pascale. Elle ne s'est jamais prise au sérieux et ce n'est pas demain la veille. Par contre sourire et rire des maus des temps, elle sait faire.
    Bon dimanche !

    Pascale

    RépondreSupprimer
  4. errata : des maux

    Pascale

    RépondreSupprimer
  5. L'humour est la politesse du désespoir, a dit quelqu'un (Boris Vian ?). Le sérieux en ce cas ne serait-il pas la politesse de l'espoir ?

    RépondreSupprimer
  6. Merci Catherine de savoir me lire...

    Pascale

    RépondreSupprimer
  7. On dirait bien qu’en ce froid dimanche il y a du grabuge du côté des filles… Restons calmes (je n’ose pas dire « zen »), et relisons plutôt Le club des cinq et le mystère du camping des alouettes… Larry Fleyt

    RépondreSupprimer
  8. Oh Larry, vous avez ce livre magnifique dans votre bibliothèque ?

    RépondreSupprimer

Ecrire un commentaire :