Notre petite boîte sombre s'appelait "L'Alligator". Jo m'avait pardonné. Nous dansions, serrés l'un contre l'autre, si amoureux, doucement bénis par Les Platters... Cette chanson, c'était nos magiques, secrètes, inoubliables fiançailles. J'avais dix-sept ans.
Je n'avais jamais imaginé que ce "Smoke gets in your eyes" témoignait de l'hésitation du Père Noël avant d'emprunter nos cheminées, jusqu'à ce salon peut-être où jouait la chanson des Platters. Mais cet opportun "Oh, oh,oh !" qui clôt le titre de cette rubrique me rappelle utilement à la pénibilité du métier du père des ramoneurs. Oh, oh, oh ! (Elbe)
A vrai dire, Elbe, je n'avais pas pensé au père noël. Je ne pense d'ailleurs souvent pas à grand chose en faisant ces billets, c'est plus à l'intuition. Mais j'adore quand il se trame ensuite des choses autour, des slows juvéniles et alligatoriens ou des attentions à la santé d'un respectable et généreux barbu.
Notre petite boîte sombre s'appelait "L'Alligator". Jo m'avait pardonné. Nous dansions, serrés l'un contre l'autre, si amoureux, doucement bénis par Les Platters... Cette chanson, c'était nos magiques, secrètes, inoubliables fiançailles. J'avais dix-sept ans.
RépondreSupprimerJe n'avais jamais imaginé que ce "Smoke gets in your eyes" témoignait de l'hésitation du Père Noël avant d'emprunter nos cheminées, jusqu'à ce salon peut-être où jouait la chanson des Platters.
RépondreSupprimerMais cet opportun "Oh, oh,oh !" qui clôt le titre de cette rubrique me rappelle utilement à la pénibilité du métier du père des ramoneurs. Oh, oh, oh !
(Elbe)
A vrai dire, Elbe, je n'avais pas pensé au père noël. Je ne pense d'ailleurs souvent pas à grand chose en faisant ces billets, c'est plus à l'intuition. Mais j'adore quand il se trame ensuite des choses autour, des slows juvéniles et alligatoriens ou des attentions à la santé d'un respectable et généreux barbu.
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