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jeudi 2 décembre 2010
un concours, une légende
Quand on lutte contre l'ego, il faut parfois lâcher prise dans cette lutte là aussi. Et donc me voilà à la remise du Prix Thyde Monnier. Mon ami Laurent photographe et écrivain me suggère le concours : quelle légende pour cette photographie ? Pour ma part, j'ai horreur de faire tapisserie, même en si bonne compagnie. Comme je regrette qu'on danse si peu de nos jours ! Savez-vous que c'est une des raisons de la grande dépression occidentale ? C'est beaucoup beaucoup plus important qu'on ne croit la danse. Il y a pourtant un magnifique salon avec un bon parquet à la Société des Gens de Lettres. Comme à La Casa del Tango, où de vieux argentins très chics murmurent à l'oreille de leur partenaire novice ce mystérieux message : "Oublie qué tou as des yambes".
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« Ah, vous étiez là !? » (larry)
RépondreSupprimer« C’est très gentil à vous d’être venus ! » (larry)
RépondreSupprimer« Oublie qué tou as un mac pour escriré ! » (larry)
RépondreSupprimerTrès jolie, cette photo, où tu t'intègres tout à fait, je trouve.
RépondreSupprimerTu as raison, pour la danse. Je croyais que c'était seulement la mer qui m'avait sauvé la mise, entre seize et vingt-deux ans. Eh, non. C'était la danse, bien sûr ! Ensuite, changement de décor. Un gaucho rigide m'avait pris sous son aile sinistre à Paris. Écrasée, la joie.
Larry,
RépondreSupprimervous êtes en tête du concours. Le premier prix est un voyage à Buenos Aires, savez-vous ?
Lika,
le gaucho disait "Oublie qué tou as un coeur et oune tête"...
"Pardon mademoiselle, cette chaise est-elle libre ?"
RépondreSupprimerBalzac
Emile est parti me chercher un verre, mais il est vraiment assomant. Je serais très honorée de papoter un moment avec vous. Je vous en prie, asseyez-vous.
RépondreSupprimerChuchoté :
RépondreSupprimer"Vas-y,toi !
— Non, toi.
— Ne faites pas les enfants !
— Ça te va bien, vas-y…
— C'était une idée d'Honoré.
— Lâche !
— Je répète ce qu'on m'a dit.
— Vous n'allez pas vous engueuler ?
— Si Madame le demande.
— Et Alfred, il dit quelque chose ?
— C'est votre problème.
— Allez, Victor, lance-toi…
Après un long silence :
— Hum ! Pardon mademoiselle, on me dit que vous écrivez ?" (Elbe)
Anonyme, votre dialogue risque fort de remporter ce voyage à Buenos Aires, mais il faudra bien donner un nom pour les billets d'avion...
RépondreSupprimerJ'étais du voyage à l'origine…
RépondreSupprimerEt ce long fleuve qui signe ma missive
n'est que l'énoncé de mes initiales.
As-tu deviné ?
Oui : Elbe !
RépondreSupprimerEn parlant de voyages, j'ai feuilleté chez ma chère Gisela un livre qui a pour titre "De l'art d'ennuyer en racontant ses voyages - Le manuel du parfait exploraseur". Elle l'avait commandé comme ça, un tout petit livre pas cher, dont le titre lui avait parlé... mais elle ne l'avait pas encore ouvert. J'ai lu tout haut quelques passages au hasard, et nous avons ri. Mais vous aures, le connaissez peut-être ? (Editions Cavatines - 2005 - L'auteur : Matthias Debureaux.)
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